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28 avril 2009 2 28 /04 /avril /2009 22:32
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   Edward, de son vrai nom Edward Anthony Masen, est né en 1901 à chicago. De son vivant, Edward avaient les yeux verts mais ses cheveux avait déjà la couleur dorée bronze qu’aime tant Bella.
   Ses parents, Elizabeth et Edward Masen, sont morts de la grippe espagnole en 1918. Alors que le docteur Cullen tentait d’alléger le calvaire d’Elizabeth, celle-ci lui a demandé de sauver son fils, de faire pour lui ce qu’aucun autre médecin ne pourrait faire.
   La surprise passée d’avoir constaté que cette femme avait deviné sa vraie nature, Carlisle décide de mordre Edward, agonisant. Il créé donc, après des années de solitude, son premier enfant.



   Edward s’avère un vampire extrêmement rapide qui a surtout la capacité d’entendre les pensées d’autrui : il ne peut cependant pas filtrer ces pensées, et ce don est finalement indépendant de sa volonté.
   Il peut faire des efforts pour mieux capter les pensées d’autrui, mais il ne peut percevoir que ce que la personne pense alors. (Contrairement à Aro qui peut tout lire des souvenirs de sa victime, même ce qu’elle veut lui cacher). Il ne peut pas, par exemple, aller chercher une information lambda dans l’esprit de sa « victime ». Celle-ci doit penser à telle ou telle chose pour qu’Edward le perçoive. A l’inverse, il ne peut pas ne pas percevoir ce que pense autrui, ce qui le gène parfois lorsque ces pensées sont celles de garçons qui fantasment sur Bella. Il n’a pas besoin, comme c’est le cas pour Aro, de toucher la personne pour entendre ce qu’elle pense.
   Un seul être fait exception à ceci et bloque son don : Bella.


   Physiquement, il est décrit durant quatre livres comme la beauté parfaite. Un adonis de marbre de 17 ans. Un dieu vivant (enfin, façon de parler). Ses cheveux sont cuivrés et joliment désordonnés, ses yeux varient du doré au noir selon sa soif. Il est grand, mince, possède une mâchoire carrée, des lèvres pleines sans défaut, des dents blanches et régulières, un torse parfaitement musclé… Que demander de plus ? Et bien ma foi une voix de ténor, un rire séduisant, une haleine fraîche et sucrée… de quoi faire se pâmer toute femme qui croise sa route. « Ma seule présence t’intoxique », dira-t-il à Bella. On la comprend.


   Au début de sa vie de vampire, Edward a du mal à accepter l’existence que lui propose Carlisle, d’autant plus qu’il sait parfaitement que celui-ci est sincère dans ses convictions. La vie de « végétarien » ne lui plait que moyennement et il décide de partir de son côté, chassant les meurtriers pour s’en nourrir.
   Il finit cependant par revenir vers son « père », et explique à Bella que quoi qu’il ait pu penser alors, quelles que soient les excuses qu’il ait pu tenter de se trouver, un crime reste un crime. Peu importe la victime.


   Il retrouve donc Carlisle qui entre temps a vampirisé Esmée, et reste définitivement avec eux. Edward voue un amour et une admiration sans faille à son père, et une profonde affection à sa mère, ainsi qu’aux autres futurs membres de sa famille.
   Cependant, et pour la plus grande détresse d’Esmée, il n’a jamais rencontré l’amour avant Bella. Esmée en était même venue à se demander si sa vampirisation n’avait pas été trop précoce, craignant de voir son fils adoré vivre une éternité de solitude.


   Elle est donc plus que ravie lorsqu’Edward leur présente Bella ; celui-ci affirme d’ailleurs qu’elle se moquerait bien que l’élue ait trois yeux et les pieds palmés, tant son bonheur est parfait.
   Edward est d’abord irrité par Bella, qu’il accuse de mettre sa vie en péril. Il tente de fuir pour résister à son envie de la vider de son sang, ce qui provoquerait bien des soucis pour les siens.
   Répugnant à vivre loin de sa famille, et également à se laisser dicter sa conduite par une simple humaine, il revient pourtant à Forks et s’évertue dans un premier temps à éviter Bella.
   Il finit cependant par rendre les armes, intrigué par son incapacité à lire dans ses pensées et par son attitude face à lui : jamais, en effet, elle ne dévoile à ses amis ou son père ce qu’elle a perçu d’anormal chez les Cullen.


   Edward est capable de tout pour Bella. Au tout début de leur relation, il lui avoue se sentir très protecteur envers elle et a bien du mal à se maîtriser et à ne pas tuer les coupables lorsque Bella est agressée. Il est prêt à mourir plutôt que de vivre dans un monde où elle ne serait pas.
   Il est le modèle du parfait chevalier, toujours aimable et poli, employant un langage d’un siècle passé, posé et souvent raffiné. Il compte aussi parmi ses dons une maîtrise parfaite du piano et va même jusqu’à composer une berceuse pour Bella. Parfait, on a dit…
   Il fait passer l’intérêt de Bella avant tout le reste, ce qui provoque parfois des catastrophes puisqu’il considère que sa présence dans la vie de Bella constitue un danger pour elle…
 

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